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1er concours de CONTES des 1ère BAC PRO

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11 janvier 2013

BIENVENUE à toutes et tous

Enfin, le résultat final!

Les quatre lauréats sont :

1- Conte N°17

2- Conte N°2

3- Conte N°16

4- Conte N° 6

...

5- Contes N°10, 21 et 4

6- Contes N° 15, 24 et 12

7- Conte N° 1

8- Conte N° 11

Merci à tous les participants.

Bravo aux finalistes et félicitations aux lauréats ! 

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11 janvier 2013

CONTE N°6 : Le jour où Sébastien rencontra le Dieu Océan

LE JOUR OU SEBASTIEN RENCONTRA LE DIEU OCEAN

 

Il était une fois,  au cœur du pays viennois, à Saint Romain en Gal,  un petit club

d’aviron, bien caché sous le pont de l’autoroute, à côté d’une grande île sauvage

dont peu de gens soupçonnaient l’existence. A côté de ce club coulait un fleuve

majestueux, aux couleurs changeantes, tantôt lisse comme un miroir, tantôt

tumultueux comme un ruisseau de montagne après un orage et, parfois tellement

brillant, que tous les monuments de ses berges venaient se refléter à sa surface.

 

On y accédait par de petits ponts qui passaient sous la voie de chemin de fer, et

sa vie était rythmée par le bruit des voitures et camions qui partaient ou

revenaient de la lointaine Provence, par le bruit des locomotives qui tiraient

leurs wagons et par la vue des péniches descendant ou remontant le fleuve au

gré de leur chargement. On aurait pu croire qu’il était au centre du monde…..

 

L’île Barlet, à côté du club, était un endroit resté sauvage, inaccessible aux

voitures, bordé d’un côté par le Rhône et de l’autre par la Lône, un bras du

Fleuve.

 

Cet endroit était un véritable coin de paradis et un refuge pour de nombreux

canards, cygnes, et même une oie sauvage qui avait décidé de poser ses bagages

au milieu de la Lône. Chaque printemps, le bassin formé par la Lône se

peuplait des portées bruyantes de canards et de cygnes tout juste sortis de

leur coquilles.

 

Le mercredi et le samedi, les copains du club aimaient à se retrouver ensemble

pour  aller naviguer dans ce cadre idyllique.

 

Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que le lit du fleuve était occupé par une créature

venue du fond des âges et qui avait quitté la mer Méditerranée pour venir

s’installer au milieu des vestiges du temps passé. Cette créature, à visage

presque humain, portait une barbe d’algues, une chevelure immense garnie de

pinces de crabes et n’était constituée que d’eau. Elle s’appelait le Dieu Océan et

tout le monde ignorait son existence, même les nombreux pêcheurs qui n’avaient

jamais soupçonné la présence d’une telle créature dans le lit du fleuve.

 

Un jour, par une belle journée de printemps, tous les jeunes s’étaient

rassemblés pour participer à une compétition de skiff. Parmi eux, un jeune

garçon de 14 ans nommé Sébastien s’apprêtait à disputer son premier

championnat. C’était un jeune adolescent timide et renfermé qui parlait peu mais

qui avait très envie de devenir un champion. En secret, il espérait qu’une

victoire pour le club lui permettrait d’avoir plein d’amis et de devenir un vrai

héros pour ses copains. Il avait beaucoup travaillé pour y arriver. Mais au fur et à

mesure  que l’heure de se battre approchait, il se sentait de plus en plus mal et

avait peur de tout rater et de décevoir l’équipe qui comptait sur lui.

 

Puis son tour arriva. Lorsqu’il fut appelé, il sentit ses jambes trembler et son

esprit se brouiller. Ses copains, voyant son désarroi, l’encouragèrent en lui

disant que tout irait bien et, tout de suite, il se sentit un peu mieux.

 

Le départ fut donné quelques minutes après. Malheureusement, l’angoisse des

instants passés se fit vite sentir sur la force de ses jambes et, malgré des efforts

 redoublés, il n’arrivait pas à revenir à la hauteur des autres bateaux.

 

 C’est là qu’une chose extraordinaire se produisit. Il entendit soudain une voix lui

 parler. Elle lui disait : « tu as la force en toi, tu vas gagner, tes ancêtres sont nés

 près de ce fleuve qui te portera à la victoire ». Puis soudain, il vit une silhouette

 sous l’eau qui ressemblait à un vieillard et qui lui souriait. La vision se déplaçait

 aussi vite qu’un dauphin, le long du skiff. Curieusement, Sébastien ne fut pas

 effrayé car il avait déjà vu cette créature en rêve. Tout à coup la vision passa

 sous le skiff et Sébastien sentit une grosse accélération qui propulsait son

 bateau au-delà de ses espérances. Il commença à doubler un premier concurrent,

 puis deux, puis trois et se retrouva en tête. Il vit à nouveau le visage

 apparaître et il entendit : « la victoire est à toi, si tu la veux vraiment ». 

 Sébastien rassembla ses dernières forces et redoubla d’effort. Les cris de la

 foule, sur les berges, étaient un formidable stimulant. Il sentit tous ses muscles

 prendre feu mais, pour rien au monde, il n’était prêt à relâcher son effort.

 

Lorsqu’il coupa la ligne, il s’effondra en avant, dans un état d’épuisement total.

Lorsque ses copains vinrent à sa rencontre, il réalisa qu’il avait vraiment

gagné !

 

Ce fut une explosion de joie. Il n’osa jamais raconter son histoire et, aujourd’hui

encore, Sébastien se demande s’il n’a pas rêvé...

7 janvier 2013

CONTE N°4 : La traversée du petit chaperon blanc

La traversée du petit chaperon blanc

C’est l’histoire du petit chaperon blanc. Un jour, ses parents lui demandèrent de se rendre dans le village voisin où les jours étaient éternels et la souffrance n’avait plus lieu d’être. Il fallait découvrir ce secret assez particulier. Le périple allait durer une journée entière, sur un chemin inconnu, d'une dizaine de 10 km.

Le matin à l’aube, sur le seuil de sa maison, elle ouvrit les yeux, éblouie par le soleil levant. On pouvait entendre le vent chanter qui glissait le long des feuilles des grands chênes. Le son la berça petit à petit, puis elle se mit en marche.

Les deux premierskilomètresétaient les plus importants pour l’enfant. Elle allait découvrir l’hostilité de l'endroit où elle avaitété lâchée : différencier le bien du mal. Mais ces 2 kmsallaient forger sa vision et son âme. Au bout du 3eme km, la maturité commençaità poindre. Et elle se rendit compte que le chemin était seméd’embûches pour les gens qui ne prenaient pas de précaution mais c'était aussi le km où l’allure des kilometres précédentsalourdit les pas. Elle tourna la tête et vit que la nature changeait petit à petit autour d’elle. Différents cheminsse présentaient devant elle. A elle de choisir. Le 4eme et 5eme km étaient celui de la remise en question, de la nostalgie du début du voyage où l’insouciance et la liberté étaient de mise. A présent, le paysage s’assombrit, les feuilles commencèrentà tomber. Au fond d’elle, elle voulait poursuivre son « chemin ». Mais il était déjà tracé.Il fallait en finir.

Du 5eme au 8eme km, l’allure se réduit. Le corps montra des signes de fatigue. Le chaperon, maintenant assez grande, chercha un raccourcipour finir au plus vite son périple. Tranquillement elle tourna la tête en arrière, les jambes flageollantes et le souffle coupé. Néanmoins, elle resta là, en contemplant avec sourire toute la distance parcourue.Oui elle l’avait fait ! Elle avait passé le plus difficile mais jamais elle ne pourrait le raconter à ses parents.

Enfin, les deux derniers km étaient devant elle. La « vieille » chaperon blanc avancait, cette fois , lentement, en pensant à ce qu’il y aurait derrière les murs de ce village, où la vie semblait si belle. Elle se demandait quel pouvait être ce secret. Elle désirait des jours sans douleurs, au gré des tendres bercements de sa jeunesse.

Elle aperçu les murs du village au-dessus desquels planait une lumière blanche. Elle se retourna puis regarda les dernières choses qu’elle avait aimées, les derniers lieux qu'elle avait traversés. Maintenant, elle pouvait sentir les flocons fondre dans ses mains crevassées.

Elle avait accompli le « voyage ». Ouvrant les portes de ce village, elle ferma les yeux et se laissa envahir par une chaleur semblable à celle de sa maison d’enfance.

Le silence se fit. La pluie se mit à tomber comme si la nature pleurait la venue de cette nouvelle villageoise. Désormais, elle ne sera plus là pour témoigner de son voyage.



Alors, on enverra à sa place d’autres personnes pour découvrir ce secret, pour parcouir ce chemin, si imprévisible, si mystérieux.

C’est ainsi que se perpétua ce cycle jusqu'à la fin des temps...

7 janvier 2013

CONTE N°2 : Le petit chaperon noir

Le petit chaperon noir

Il était une fois où je zonais dans ma chambre, sans mauvaise foi, ma mère débarqua comme une furie en criant et dit :

« Oh Momo, la grand-mère est sortie de l’hosto tu vas la voir illico pour lui apporter de la bouffe Sodexo. »

Et d’un ton bien ému, je répondis :

" Mais tu as perdu la tête, tu as cru que c’était la fête ?!

- Momo tu iras voir la grand-mère même avec mon couteau dans le derrière".

Finalement j’ai fini par me bouger vu qu’elle me menaçait avec un truc pointu.

« Tiens ! Prends ce panier où il y de la semoule et du boulgour. Vas-y tout droit et vas-y sans détour mais fais bien gaffe à ce bâtard de loup »

Sans même écouter la vielle, je suis monté sur ma brelle et je me suis tiré jusqu’à la cité de la mémé.

En plein bois de Boulogne, il y avait des gens bizarres, avec ou sans falzar, avec ou sans slibar. Et quand tout à coup, je tombe nez-à-nez avec ce bâtard de loup. Il me dit :

« Que fais-tu dans ce bois à cette heure, tranche de choux fleur ?

- Et bien,la grand-mère est malade, elle sort de l’hôpital, elle a la tète en salade.

- Ah ouais ? Et que transportes-tu dans ton panier tranche de navet ?

- Et bien de la semoule et du boulgour.

- Alors voilà ce qu'on va faire tranche de phacochère : le premier arrivé chez la mémé mange le panier. Pigé ? »

Et moi en voulant le doubler je suis remonté et j'ai tracé comme un dératé vers la cité de la mémé. Mais sur le périph' je me suis fait flasher avec un grand sourire par un radar mobile. Mais je suis quand même arrivé à la cité mais avec mon P.V.

Dans l’immeuble je sonne à la porte :

« Qui est-ce ? »

- Vas-y mémé c'est Momo, fais pas ta reloud, sors de ton trou !

- Très bien, tire la chevillette et la bobinette cherra. »

Je rentrai dans l'appart et je sentis comme une odeur bizarre, comme une forte odeur de pétard. Plus je m’approchais du lit plus la mémé était zarbie :

« Approche-toi de mon lit mon petit Momo », m'a-t-elle dit.

-Oh punaise mémé, comme tu as les yeux explosés !

- Normal tu as vu l'heure je suis limite overdose.

- Oh mémé comme tu as de grandes oreilles !

- Normal tu as vu le coin c'est pour mieux capter l'ADSL.

- Oh mémé comme tu as de grandes dents

- C'est pour mieux te manger gros Momo !

- Oh mémé tu as pété ton boulard arrête le pinard ! »

Et d'un coup de genoux, bien placé, suivi de deux coups de lattes et d'une série de patates, je te l'ai couchée, la mémé. Mais pris par la peur, je suis monté sur mon scooter et je me suis barré chez ma sœur comme un voleur.

Mais le lendemain, les flics m'ont appelé et m'ont dit que c’était pas la mémé qui était à la cité mais ce bâtard de loup et que si je l'avais pas séché il m'aurait mangé. Mais la grand-mère allait bien et elle était en garde à vue pour un vole au super U. T'as vu ?!

27 décembre 2012

CONTE N°16: Le monde merveilleux de Marie

Il était une fois, une petite fille qui se levait à 7 heures, pour aller au collège. Synonyme de calvaire pour elle.

Entrer en classe, tout le monde la fixait, la traitait de tous les noms :

« Gamine !», « Hou la vilaine ! », « Elle est toute petite ! ».

Pourquoi se moquait-on autant de Marie ?

Elle n’avait pourtant rien de repoussant en elle. Elle était jolie, intelligente, gentille, mais c’était à cause de sa petite taille, que tout le monde se moquait.

Un midi, elle s’assit dans le coin le plus sombre du CDI quand son regard fut attiré par un livre, qui était vieux et tout poussiéreux. Marie était apeurée mais en même temps très curieuse, ce qui ne l’empêcha pas de le prendre. En l’attrapant, elle déclencha le mécanisme d’une porte cachée. En la poussant, elle se trouva dans un monde fabuleux.

 

Des champs immenses étaient recouverts de fleurs géantes et de bonbons multicolores.

Au milieu, des lutins, des marmitons s’agitaient dans les cuisines. Les cocottes minutes fumaient, les fours géants étaient en marche, les plaques chantaient, les tuyaux sifflaient, les casseroles sonnaient, les cuillères tambourinaient, un véritable concert !
 Au fur et à mesure, elle découvrait des sucettes géantes, des gâteaux qui tournaient, des pâtisseries magiques, des buffets à pertes de vue.

Soudain, elle se retrouva coiffée d’une grande toque blanche et une cuillère à la main, remuant un mélange de saveurs. Un fumet merveilleux lui chatouilla les narines, la faisant voyager au septième ciel. Quand tout à coup, la minuterie d’un four sonna et tout s’évanouit. L’horloge de l’école indiquait 14h00. Elle se retrouva assise dans le fauteuil du CDI comme si rien ne s’était passé.

 

 

Tout le monde s’agitait dans les couloirs, c’était la pagaille. Marie devait retourner en cours de Maths. Chaque fois qu’elle le pouvait, Marie retrouvait refuge au CDI et grâce au livre, elle se trouvait transportée dans ce monde merveilleux. Elle ne dit à personne ce qu’elle avait découvert, bien décidée à ce que cela reste son secret.

 

 

Un jour alors qu’elle était en pause, une foule d’élèves se dirigea vers la cour de récréation, attirée par des cris. Intriguée elle aussi, sans oser s’approcher, elle essaya de comprendre la situation.

Un jeune garçon se faisait taper et insulter par trois personnes de sa classe :

 « Retourne dans ton pays !  Sale noir ! ».

Des paroles blessantes, des insultes sortaient de leur bouche devant les rires et les cris des autres élèves.

A trois contre un, le garçon n’arrivait même pas à se défendre et couché par terre en boule, il essayait de se protéger des coups qui pleuvaient sur lui.

Heureusement, le surveillant intervint. Marie était encore sous le choc d’une telle violence.

 

Quelques jours plus tard, alors qu’elle se promenait dans les couloirs, elle vit le jeune garçon, seul. Alors elle s’approcha de lui et lui expliqua tout ce qu’elle avait découvert. Puis elle lui prit la main, et l’emmena jusqu’au CDI. Là, elle lui montra le livre magique. Impatient, il prit le livre et de nouveau la porte s’ouvrit, il découvrit, avec Marie le monde magique.

Il était exactement comme elle l’avait décrit : les lutins, les bonbons multicolores. Tout était là, devant lui ! Chaque jour, ils se retrouvaient au CDI et plus rien autour d’eux n’avait d’importance.

 

Morale : Accepter les gens tels qu’ils sont est important. Peu importe nos apparences ou nos origines, nous sommes tous des êtres humains avec nos différences.

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27 décembre 2012

CONTE N° 15 : Une soirée inattendue

 

Il était une fois, trois jeunes garçons du nom de Martin, Rémi et Jules. Ils étaient en classe de sixième. Ils étaient amis depuis la classe de maternelle et étaient  inséparables. Ils se connaissaient parfaitement, ils savaient tous les trois les habitudes de chacun.

 

Un soir, les jeunes enfants se rejoignirent chez l'un d'entre eux pour aller passer la soirée chez Alex, un de leurs amis. En route, les trois jeunes adolescents passèrent devant un arrêt de bus, et là, ils découvrirent un tas de bouteilles d'alcool. Aucune n'avait été bue entièrement. Les trois compères se lancèrent alors le défi de boire les bouteilles le plus vite possible.

Martin commença le premier.

Après quelques minutes, l'enfant se mit à trembler, jusqu'à tomber par terre. Les deux autres ne comprirent pas ce qui se passait vraiment. Après tout il n'avait pas vraiment beaucoup bu, juste quelques fonds de bouteilles! Le jeune homme tremblait de plus en plus. Il ne parlait plus, et ne répondait pas quand ses copains lui parlaient. C'est comme s'il n'écoutait pas ce qu'ils lui disaient.

Les enfants commencèrent  à prendre peur car ils devaient se rendre chez leur ami. D'un coup, Rémi prit la décision d'aller voir ses parents, même s'il savait qu'ils allaient se faire disputer et sûrement qu'ils auraient une grosse punition. Mais il y alla quand même. Il raconta, expliqua très vite la situation. Ils ignoraient vraiment ce qui se passait .Ses parents prirent la décision de prévenir les pompiers pour qu'il soit pris en charge par des personnes compétentes.

Après de longues heures, Martin se réveilla. Il resta encore quelques heures à l'hôpital puis il rentra chez lui.

A son retour, ses parents étaient furieux contre lui, eux qui pensaient qu'ils pouvaient lui faire confiance...

Ses parents se mirent d'accord sur une punition: Martin ne sortirait plus du domicile familial le soir, pendant trois mois.

 

Le jeune garçon se sentit vite seul et enfermé. Et un soir, n'y tenant plus,  Il prit la décision de fuguer. Il n'en pouvait plus de rester seul chez lui sans ses amis. Il prit ses affaires et partit.

Il ne savait pas trop où il allait, mais ce qui était sûr c'est qu'il ne voulait absolument pas rentrer chez lui.

En sortant de chez lui, alors que la nuit était déjà tombée, il vit un homme complètement soul qui se mit à le poursuivre. Il commença à trembler de peur car l'homme était grand, brun, avec des vêtements noirs. Les larmes lui montèrent aux yeux. Martin se dit que peut-être il avait fait  une erreur en partant de chez lui sans rien dire à personne mais il se rendit compte qu'il ne fallait pas qu'il rebrousse chemin car cela n'aurait servi à rien de tout quitter. Il pensait aussi qu'il n'était pas une mauviette et  qu’il pouvait très bien surmonter sa peur.

Quelques rues plus loin, Martin rencontra un chat. Un chat tellement magnifique qu'il ne put s'empêcher de le toucher. Il était argenté avec des yeux de couleur émeraude. Le chat lui demanda ce qu’il faisait ici. Le jeune garçon fut étonné de voir que le chat pouvait lui parler et il lui répondit qu'il était parti de chez ses parents car il avait fait une grosse bêtise et qu'ils étaient en colère contre lui donc ils l'avaient puni sévèrement. Le chat  lui expliqua que c'était normal qu'ils soient en colère car il avait fait une grave bêtise et que la punition était pour son bien. Le jeune garçon ne fut pas d'accord avec l'opinion de l'animal. Ils s'assirent tous les deux sur un banc et se mirent à parler, parler pendant des heures.

 

Pendant ce temps, les parents de Martin s’étaient rendus compte de son départ  et avaient prévenu  la gendarmerie en leur disant que leur fils avait fugué. Ils le retrouvèrent rapidement car il ne pouvait pas aller bien loin à pieds.

Ses parents, furieux pour la deuxième fois, finirent par lui expliquer que boire n'importe quoi et fuguer à la première contrariété ne servaient à rien; quand on faisait une bêtise on devait en supporter les conséquences. Le jeune garçon expliqua à ses parents que s'il était parti c'était parce qu'il avait peur de ne plus avoir d'amis, il avait peur que plus personne ne l'aime et que ses parents ne s'occupent plus  de lui et qu’ils lui en veuillent pour toujours de ce qu’il avait fait. Après avec beaucoup discuté avec l'étrange animal, Martin discuta de longues heures avec ses parents sur ses actions et son étrange comportement.

 

Le jeune homme comprit ses erreurs et décida de ne jamais recommencer. Il avait réalisé que même s'il était un héros face à ses copains, il lui était plus utile de résister à la tentation de l'alcool pour ne pas regretter quand la punition des parents risquerait  de tomber.

 

MORALE : tout au long de notre vie, il faut assumer nos erreurs. La punition nous permet de réfléchir et nos parents sont là pour nous guider et nous faire grandir. Les vrais copains sont toujours là, dans les mauvais moments comme dans les bons ! Alors pourquoi faire des bêtises ?...

27 décembre 2012

CONTE N°24 : Danger sur internet

Il était une fois, une petite fille de dix ans qui s'appelait Caroline. Cette petite fille était grande aux yeux bleus et aux cheveux blonds. Caroline était en CM2.Elle était très intelligente et travaillait bien à l'école. Ses parents étaient très fiers d'elle. Elle avait de nombreux amies, Carla et Maeva et avait un petit chien blanc qui s'appelait Neige.

Un jour, à la récréation Caroline était avec ses copines, elles parlaient d'ordinateur et de Facebook. Sa copine Carla lui expliqua que c'est sa grande sœur qui lui avait  fait connaître et qui lui avait créé un compte Facebook, elle lui dit aussi qu'elle aimait  bien y aller car elle rencontrait  plein d'amis. Le soir en rentrant chez elle, Caroline se connecta sur l'ordinateur sans demander à ses parents et alla se créer un compte Facebook. Elle mit une photo d'elle et ajouta tous les gens de sa classe.
 Le lendemain toute contente d'être sur Facebook, elle demanda à sa copine comment faire pour se trouver plus d'amis. Sa copine Carla, lui expliqua comment faire. Le soir, alors que sa maman regardait la télévision et que son papa était encore au travail, Caroline se connecta sur l'ordinateur.

 Elle regarda les nouvelles, quand tout à coup elle reçut une invitation. C'était un garçon qui s'appelait Benjamin. Elle accepta l'invitation et ils commencèrent  à discuter tous les deux. Benjamin dit être en CM2 et avoir 10 ans. Les jours suivants elle se confia beaucoup à Benjamin, elle lui dit aussi sans aucune méfiance où elle habitait.
Un samedi alors que Caroline était tranquille chez elle ,toute seule, quelqu'un sonna à sa porte. C'était le Benjamin en question, Caroline demanda qui c'était et Benjamin lui répondit d'une voix grave. Elle commença à douter de lui car il n'avait pas la voix d'un enfant de dix ans. Elle ouvrit la porte et se retrouva devant un adulte. Caroline commença à paniquer, elle lui demanda de partir. Mais l'homme ne voulut pas. L'homme était grand aux yeux marron et aux cheveux noirs. Il avait une grosse voix grave. L'homme demanda à Caroline d'aller dans sa chambre. Caroline paniquée ne lui répondit pas. L'homme commença à s'énerver car il voulait aller dans sa chambre. Caroline le guida jusqu'à la chambre. Il s'installa sur son lit et demanda à Caroline de venir à côté de lui. Caroline prit le téléphone et en cachette elle fit le numéro de sa mère. Elle alla dans la chambre avec l'homme. Sa mère répondit au téléphone. L'homme parlait à Caroline. La mère comprit qu'il se passait quelque chose et que l'homme qui parlait à sa fille n'était pas son mari. Elle appela la police et sortit de son travail. La jeune fille toujours aussi paniquée se mit à pleurer, l'homme commença à lui caresser le cou puis la main. Caroline essaya de se défendre et de sortir de la chambre, mais l'homme se mit devant sa porte. Quand tout à coup la table de nuit se mit à trembler, et le chien qui était dans la chambre se transforma en ours. L'ours poussa l'homme et lui dit: "Si tu t'approches encore de Caroline, tu auras à faire à moi" en montrant ses grandes dents aiguisées.

L'homme avait peur mais essaya de se rapprocher encore une fois de la jeune fille. L'ours le prit alors par les cheveux et le traina hors de la chambre. Quand tout à coup, quelqu'un frappa à la porte, la table de nuit se remit à trembler et l'ours se retransforma en chien. Caroline qui était encore dans la chambre, sortit et alla demander qui c'était. L'homme qui était assis dans la cuisine, se leva et prit Caroline par le bras et l'emmena dans la cuisine. Derrière la porte c'était la police. L'homme énervé que la police soit la demanda à Caroline si c'était elle qui avait appelé. Caroline en pleurs dit avoir appelé sa mère mais pas la police. L'homme très énervé jeta tout ce qu'il y avait sur la table par terre. La police qui n'était pas patiente, força la porte. L'homme ayant peur, alla se cacher sous le lit de Caroline. Caroline quant à elle était resté dans la cuisine, un policier alla la voir et lui demanda ce qui c'était passé .Caroline avait peur de répondre. Pendant ce temps, un autre policier fouilla tout l'appartement, et trouva l'homme. Il le traina, le leva et l'emmena dans le salon. L'homme ne voulait pas parler. La mère arriva en pleurs et paniquée, elle alla voir sa fille et Caroline lui expliqua ce qui s’était passé et expliqua aussi qu'elle avait rencontré l'homme sur Facebook. Sa mère lui dit que ce n'était pas bien car elle n'avait pas prévenu ses parents. L'homme quant à lui expliqua aussi toute l'histoire et alla en prison. Caroline reprit une vie normale sans Facebook et en ayant peur des hommes plus âgés.

Morale:

Les apparences sont parfois trompeuses surtout sur les réseaux sociaux. Ne parler jamais aux gens que vous ne connaissez pas.

27 décembre 2012

CONTE N°21: Lou et les bonbons magiques

Il était une fois, Lou, une fillette de dix ans adorée par toute sa famille. Un soir d’hiver sa maman lui demanda de rentrer seule de l’école le lendemain car elle travaillait. Elle lui expliqua qu’il fallait se méfier de certaines personnes qui étaient à la sortie de l’école et qu’elle devait donc rentrer chez elle directement sans s’attarder.

Lou accepta et le lendemain lorsque l’école fut finie, elle sortit de l’école et commença le chemin du retour. Presque arrivée chez elle, elle aperçut un homme s’approcher d’elle L’homme s’approcha un peu  plus de Lou et lui proposa de venir manger des bonbons chez lui. Lou commença par refuser  mais l’homme insista en lui expliquant que ses bonbons n’étaient pas comme les autres car ils donnaient le pouvoir de devenir une petite princesse. Lou envieuse de devenir la plus belle des princesses accepta de venir manger les bonbons. L’homme lui expliqua que pour pouvoir manger les bonbons il fallait se rendre chez lui avec sa voiture garée un peu plus loin au bout de la rue. Lou le suivit et monta dans sa voiture et au bout de vingt minutes, ils arrivèrent  vers une maison éloignée au fond de la forêt dans un minuscule hameau où  il y avait seulement deux  maisons.

Pendant ce temps- là, sa mère qui venait de rentrer, s’inquiéta de ne pas voir Lou rentrée à la maison comme elle lui avait demandé la veille. Elle appela toute les copines de Lou pour savoir si elle était chez l’une d’elles ainsi que la famille mais ses recherches ne donnèrent  rien .Lou restait introuvable… Elle prit donc la décision d’appeler la police et arpenta les rues de la ville à la recherche de sa fille.

 

Lou, elle, loin de s’imaginer l’inquiétude de sa mère rentra dans la grande maison. L’homme lui demanda de monter à l’étage et d’attendre dans la petite chambre du fond. Lou s’exécuta et attendit ses fameux bonbons. Dix minutes plus tard, l’homme arriva avec les bonbons, les donna à lou et lui expliqua que le lendemain quand elle se réveillerait elle ressemblerait à une magnifique princesse. Lou mangea les bonbons ainsi qu’un petit repas préparé par le monsieur et partit se coucher. L’homme ferma la porte à clef et partit de la maison.

Le lendemain lorsqu’elle se réveilla, elle courut vers le miroir et là … C’était  l’horreur Lou ne ressemblait pas du tout à une princesse, elle n’avait pas changé ! Elle se mit donc à pleurer toutes les larmes de son corps et cria si fort que Billy le lutin, qui habitait la maison d’à côté, l’entendit. Billy ayant compris qu’une petite fille se trouvait en danger décida d’aller aider la petite Lou. Billy courut jusqu'à la porte, démonta la porte de la chambre où se trouvait Lou et lui demanda ce qui se passait. La petite fille lui expliqua que les bonbons ne l’avaient pas rendue belle comme une princesse et que le monsieur l’avait enfermé dans cette chambre. Billy proposa à Lou de la ramener auprès de sa maman et elle accepta.
Au moment de sortir de la maison, l’homme était revenu et essaya d’arracher Lou des bras du lutin pour empêcher la fillette de rentrer chez elle. Billy lui donna un grand coup dans la tête, ce qui l’assomma. Billy et Lou en profitèrent pour s’échapper dehors. Billy courut jusque chez lui récupérer son skate volant et monta dessus avec Lou. Ils s’envolèrent dans les airs et volèrent jusqu'à la maison de la fillette. Billy la déposa dans son jardin et la laissa rentrer dans sa maison.
Lou courut dans les bras de sa maman et lui expliqua ce qui c’était passé.
Billy, lui, heureux d’avoir ramené la petite chez elle repartit chez lui.  

 

Morale : Il faut se méfier des belles phrases car elles se révèlent plus souvent belles que vraies.

27 décembre 2012

CONTE N°17: Bonheur à tout prix

 

         Il était une fois, un petit garçon de 7ans qui s'appelait Hugo. Il vivait dans une grande ville. Son papa et sa maman travaillaient tous les deux, ils partaient tôt le matin et rentraient tard le soir. Quand Hugo rentrait de l'école, il se retrouvait seul dans le grand appartement. Une fois qu'il avait fini de goûter, il allait comme tous les jours dans sa chambre. Là il retrouvait tous ses jeux. Son univers était un monde rempli de jeux électroniques, un train électrique, un cheval à bascule, des peluches toutes plus grosses les unes que les autres. Hugo arrivait à peine à ouvrir sa porte. Chaque fois qu'il sortait avec ses parents, le samedi, il revenait des courses avec un jouet de plus.

Il avait un grand coffre rempli de jeux de sociétés, une petite bibliothèque pleine de bandes-dessinées. Sur sa commode, son père lui avait installé une télévision pour qu'il puisse regarder ses DVD. Il en avait un  plein tiroir.

Hugo regarda autour de lui, soupira et se jeta sur son lit. Là, il se mit à pleurer de tout son corps. Hugo était tout seul. Son univers ludique devenait menaçant pour lui. Il avait l'impression que ses peluches se moquaient de lui. Il leur parlait, se confiait, mais elles continuaient d'être sourdes et muettes.

        

Tout à coup l'une de ses peluches se mit à parler. Hugo n'en revenait pas, il restait là assis parterre la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés.

 

« Que t'arrive- t-' il Hugo ? Tu n'es pas comme d'habitude » lui dit Johnny l'ourson, sa première peluche offerte par son grand-père Jean.

 - Qu'est-ce qui m'arrive ? se demanda Hugo et bien voilà que je crois que ma peluche me parle !

Je voudrais tellement ne plus être seul, que je suis prêt à croire que tu me comprends...

 - Mais oui, Hugo je te comprends, je t'écoute et je sais que tu es triste. Dis-moi ton chagrin.

Hugo se ressaisit et dit :

« Oh si tu savais ! Je n'ai pas d'amis, personne avec qui  jouer, sortir. Je suis toujours tout seul. Seul à rire et seul à pleurer. Je prends le bus tous les jours et tous les jours je suis le premier à monter et à descendre. Aucun des enfants de ma classe n’habite près de chez moi.

 - Hugo, petit Hugo, dit Johnny, il ne faut pas être triste, tu verras tu auras des amis, bientôt. Seulement il faut regarder autour de toi et mettre un sourire sur ton petit visage. Allez courage. »

        

Du courage Hugo n'en avait plus. Seul, il l'était depuis tout petit, personne avec qui jouer. Seul dans cette chambre, seul au milieu de ses jouets qui n'arrivaient même plus à le distraire. Et Johnny qui lui disait qu'il aurait  bientôt des amis. Hugo se mit à pleurer longtemps avant de trouver le sommeil, dans son lit en forme de voiture. Sa couette au décor Spiderman, remontée jusqu'à ses petites oreilles ne pouvait rien pour notre petit héros. Il s'endormit avec les yeux pleins de larmes.

 

Quelques jours passèrent après la discussion avec sa peluche. Mais depuis l'autre soir,  elle n'avait plus reparlé.

 

Un jour en rentrant chez lui, sortant de l’ascenseur il vit que sur son palier il y avait de nouveaux voisins. Hugo rentra chez lui. A peine la porte refermée, la sonnette retentit. Hugo ouvrit et découvrit deux visages rieurs aux fossettes prononcées. Ils étaient identiques, c'était des jumeaux, Kévin et Tom, 7 ans les nouveaux voisins.

« Veux-tu venir jouer chez nous ? »

Hugo hésita puis il les suivit. Quand il franchit la porte de leur chambre il fit la grimace.

« Où sont vos jouets ? Vous ne les avez pas encore déballés ?!

 - Non, nous n'en avons pas. Notre père est au chômage et nous devons faire des économies. Mais ce n'est pas grave, on invente plein de jeux. »


Ils passèrent des heures à jouer, rire. Hugo ne s'était jamais autant amusé. Lorsqu'il rentra chez lui, ses parents inquiets lui demandèrent où il était. Il leur raconta ce qu'il avait fait avec ses nouveaux amis. Hugo demanda à ses parents s'il pouvait donner un peu de ses jouets. Il en avait tellement et eux si peu. Il remplit un carton et leur apporta. Tom et Kévin étaient ravis de ces cadeaux.

Hugo fut très heureux de partager ses jouets avec eux. Il venait de découvrir ce que voulait dire : Échange, Partage, Complicité et Amitié. Il retrouva sa peluche, Johnny, dans son lit.

«Tu vois Hugo la vie est pleine de surprises, il faut toujours croire qu'il y aura des jours meilleurs. »

Hugo prit sa peluche dans ses bras et lui dit :

«Tu es mon compagnon de toujours, excuse- moi de ne pas avoir compris que mon premier et meilleur ami c'était toi ! Et ce sera toujours toi ! Malgré tout ce que j'avais, j'étais triste et je ne voyais pas que je t'avais toi ma fidèle peluche. »

        
Ce soir -là,  Kévin et Tom, Hugo et Johnny, tous étaient heureux. Ils s'endormirent avec un large sourire sur les lèvres.

 

Morale :

 Enfant, on peut posséder tous les jouets de la terre, on n’en est pas pour autant heureux car il nous manque l’essentiel : le bonheur de les partager avec un ami.

26 décembre 2012

CONTE N° 12: Le cadeau de l'amour

 

Il était une fois, un jeune garçon qui s’appelait Laurent. Il était très amoureux de Sarah, une très belle jeune fille qui avait les cheveux longs et bruns. Elle le considérait comme un ami et aussi comme son confident mais rien de plus. Pourtant, Laurent rêvait de tout autre chose.

Un jour, le jeune garçon décida de lui offrir un collier avec un petit cœur en rubis. Il lui confia que le petit cœur était le sien et que s’il cassait, il mourrait. La jeune fille accepta le présent et écouta avec attention ce qu’il  lui dit. Pour finir, il lui précisa qu’il ne fallait pas qu’elle tourne le collier car elle se verrait alors plongée dans un sommeil qui ne se terminerait que s’il l’embrassait  et que la vie de sa famille se trouverait bouleversée. Sa famille serait frappée d’amnésie, et elle oublierait son existence. Et  seul son baiser et leur mariage pourrait leur faire retrouver la mémoire.

Le jeune garçon repartit chez lui.

La jeune fille repensa à ce que Laurent lui avait dit le matin même. Et prise de curiosité elle tourna le collier.
L’effet ne se fit pas attendre : Sarah plongea dans un sommeil profond et sa famille l’oublia. Sur toutes les photographies de famille, elle disparut.

Laurent se réveilla en sursaut car il sentit qu’il arrivait quelque chose à Sarah. Il comprit qu’elle avait dû tourner le collier. Il se mit en quête de la retrouver. Il demanda à tout le monde s’ils savaient où elle était mais personne ne le savait. Il décida d’aller voir où elle habitait. Personne ne répondit quand il sonna à la porte de sa maison. Il décida donc de rentrer en cassant une fenêtre pour voir si Sarah était là. Une fois rentré il la vit, là, allongée sur son lit, habillée dans une belle robe rouge vif. Il s’avança doucement pour aller déposer un baiser sur ses lèvres, mais quand il s’approcha, il se passa quelque chose d’étrange : le lit s’éleva dans les airs. Il comprit que le collier avait d’autres effets que ceux qu’il avait prévus.

Donc il décida de la sauver par tous les moyens. Il courut, prit de l’élan et il sauta sur un mur, et enfin réussit à arriver sur le lit.

Il découvrit avec beaucoup d’émotion le visage radieux de Sarah. Alors, il se pencha, délicatement et il l’embrassa.

Quelques instants après, Sarah se réveilla, lui sourit et le regarda amoureusement.
 Depuis ce jour, Sarah et Laurent vivent heureux.

 

Moralité de l’histoire : Une fois que l’on est sûr de ses sentiments, il faut être persévérant. On finit toujours par être récompensé.

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1er concours de CONTES des 1ère BAC PRO
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